Wagner à Vienne, par Christian Merlin

Publié le - 20h00Hôtel Bedford

En 1860, après 77 répétitions, l’opéra de Vienne jette l’éponge et renonce à créer Tristan et Isolde. C’est Munich qui aura cet honneur. Une blessure qui connaîtra bien des réparations, jusqu’à l’enregistrement à Vienne, un siècle plus tard, du premier Ring en studio et en stéréo. Pourtant, les rapports entre Vienne et la musique de Wagner ont toujours été, et restent, ambivalents.

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Christian Merlin est critique musical au Figaro et producteur, sur France Musique, de l’émission Au Cœur de l’orchestre, titre d’un de ses livres (éd. Fayard). Agrégé d’allemand, docteur ès lettres, il se consacre désormais à ses activités d’homme de radio, conférencier et auteur, entre autres de : Wagner mode d’emploi (éd. Premières Loges), Le Philharmonique de Vienne (éd. Buchet-Chastel), Pierre Boulez (éd. Fayard).