Selon notre habitude, nous clôturons la saison de conférences par une écoute d’interprétations wagnériennes, au fil des plus grands interprètes, que nos amis sauront rappeler à nos oreilles.
Archives
Budapest
Nadine Denize
Berlioz et Wagner : berlioziens et wagnériens, par Christophe Dilys
La création de Parsifal à Bayreuth : aspects esthétiques, juridiques et économiques, par Gilles Demonet
« Je me suis cru moi-même wagnérien » : Saint-Saëns et Wagner, une relation complexe, par Cécile Leblanc
La postérité de Lohengrin, par Timothée Picard
Assemblée générale ordinaire, suivie de la « galette des rois » et du cocktail dînatoire
Liszt, Wagner et leur « lumière surnaturelle », par Nicolas Dufetel
En composant Das Wunder (Le miracle) de son oratorio Christus, Liszt voulait trouver une « lumière surnaturelle » pour représenter la paix installée par Jésus après le déferlement de la tempête qui le menaçait, lui et ses disciples, dans la barque (Matthieu 8, 23-27). D’autres œuvres témoignent de cette