Archives des conférences

Les jumeaux de 1813, dont les œuvres se côtoient aujourd’hui sur toutes les scènes internationales, sont célèbres pour ne s’être jamais rencontrés, et pour ne s’être point tenus en estime mutuelle. Ils furent, de surcroît, longtemps transformés en quasi-rivaux par un discours critique qui aimait à

Wagner a été particulièrement « choyé » par le disque. Pour clôturer cet­te saison sous forme de concert, Clym a choisi, dans sa vaste discothèque, des enregistrements rares, singuliers, voire introuvables aujourd’hui…

Beaucoup de surprises et de découvertes nous attendent !

La conférencière a assisté à la production de Toulouse, dans la mise en scène de Jorge Lavelli, et proposera de la comparer avec la mise en scène de la version berlinoise, les points de vue des deux metteurs en scène étant à l’opposé ! L’œuvre présente un sujet politique magnifique, et l’on peut

On évoquera la possibilité de lire les Œuvres théoriques de Wagner comme les éléments d’une autobiographie, ainsi que lui-même le propose dans la préface à l’édition de 1873. Ce sera aussi l’occasion d’aborder la culture du compositeur, en soulignant qu’il est un exemple exceptionnel de

Production du Deutsche Oper Berlin, enregistrée en public en 2010, dans une mise en scène de Philipp Stölzl et sous la direction de Sebastian Lang-Lessing, avec Torsten Kerl et Camilla Nylund.

La première de L’Or du Rhin, prévue pour août 1869, attire à Munich nombre d’admirateurs du com­po­si­teur. Parmi eux, Judith Gautier, son époux Catulle Mendès et Villiers de L’Isle-Adam. Ils sont reçus, à l’aller et au retour, à Tribschen, en Suisse, où résident alors Wagner et Cosima, encore Mme

Regietheater est le nom que l’on donne au règne absolu du metteur en scène, devenu dans le dernier demi-siècle le véritable auteur d’un spectacle, et ainsi susceptible de traiter les œuvres du passé non comme des reliques vénérables mais plutôt comme un matériau dont il faut faire du

A priori, rien ne prédisposait à ce que deux hommes aussi opposés se rencontrent et nouent une vraie relation sur le plan musical. Pour Bruckner, la découverte de l’art wagnérien ne fut rien de moins que l’impulsion décisive qui lui permit de se lancer dans l’aventure symphonique. Quant à