Archives des conférences

Le sérieux de l’œuvre de Wagner et la place qu’elle occupe dans la culture occidentale ont fait d’elle une cible privilégiée des parodistes de tous poils. Qu’elles portent sur la musique ou sur l’élé­ment dramatique, qu’elles provoquent un rire franc ou demeurent cryptées, les parodies wagnérien­nes

Richard Strauss est vraisemblablement le compositeur qui a su le mieux gérer l’héritage wagnérien tout en s’en dégageant pour assumer sa propre esthétique musicale. Ayant conscience de sa responsabilité dans l’évolution de la tradition wagnérienne, Richard Strauss n’a cessé de rendre

Né au siècle des grandes découvertes, qui trouvèrent notamment des applications dans le domaine de l’enregistrement et de la reproduction des sons, Toscanini nous a-t-il laissé le témoignage de l’immense talent salué par tous ? Son souvenir associé à Verdi occulte son implication dans la

Depuis plusieurs années, Chantal et Henri Perrier peaufinent ce diaporama commenté sur Tristan et Isolde, qui évoque d’abord les circonstances biographiques de la genèse et de la création de l’œuvre, puis, passant assez rapidement sur l’illustration de la légende médiévale, s’attarde sur l’abondante

Ce vaste sujet correspond à l’un des livres de la conférencière. Il s’agira d’enraciner la culture allemande dans les symboles de ce pays minier, propice à la descente dans les profondeurs de la Nature et de l’être humain (Der Freischütz, Hans Heiling, Das Rheingold), traversé de fleuves

Production de l’Opéra d’Etat de Hambourg, enregistrée en studio pour la télévision en 1968, dans une mise en scène de Joachim Hess et sous la direction de Leopold Ludwig, avec Ernst Kozub, Arlene Saunders, Gottlob Frick, Edith Mathis et Hans Sotin.

>> Rappel du concert par Alain Barove

En 1859, Liszt envisageait de publier, à Paris, en français, un livre sur Wagner qui réunirait ses trois analyses de Tannhäuser, Lohengrin et Der fliegende Holländer : trois opéras considérés de leur point de vue musical et poétique. Après de longues recherches et un travail de reconstitution, ce projet,

« Nous voulons croire à notre amitié d’astres, dussions-nous être ennemis sur la terre » (Nietzsche). On sait l’amitié exaltée et orageuse qui a uni l’artiste et le philosophe, leur rupture profonde et le vaste règlement de comptes posthume de l’auteur de L’Antéchrist avec celui de Parsifal. Mais quel

Le sujet peut surprendre et pourtant… Nous nous fonderons sur les déclarations de Richard Wagner, sur ses lectures, sur sa correspondance et sur ses projets d’opéras. Puis nous chercherons les traces d’inspiration bouddhique dans les œuvres (livrets, personnages, musique). Leur richesse semble