Wagner à la Belle Époque : le regard de Willy, par Marie-Bernadette Fantin-Epstein

Publié le - 15h15Hôtel Bedford

Henry Gauthier-Villars, dit Willy, est l’homme à la mode du Tout-Paris de la Belle Époque. Mystificateur et cabotin en diable, il signe, sous le nom de « L’Ouvreuse du Cirque d’été », des articles de critique musicale où il joue à faire et défaire les célébrités du monde de la

Parsifal, le théâtre et le sacré, par Jean-François Candoni

Publié le - 20h00Hôtel Bedford

Les références au catholicisme, qui abondent dans Parsifal, ont été interprétées par Nietzsche comme un acte d’allégeance de Richard Wagner à l’Église romaine et comme une trahison envers ses idéaux révolutionnaires. La conférence de Jean-François Candoni tentera, à l’inverse, de

Bayreuth, scène d’un drame en trois actes, par Marc Dumont

Publié le - 15h15Hôtel Bedford

Pour les wagnériens, tout part de là. D’où vient ce lieu rêvé de l’art total, son théâtre, mais aussi, au cœur de la ville, Wahnfried, la villa des chimères ?  Pourquoi ce lieu est-il devenu un des centres mondiaux de la musique ? Comment est-il né, de quels projets, de quels désirs ? Au départ, ce rêve wagnérien n’était

Colette à Wagneropolis, par Cécile Leblanc

Publié le - 15h15Hôtel Bedford

Colette, dont l’éducation musicale est déjà très solide, découvre le wagnérisme dans l’entourage d’Henry Gauthier-Villars après leur mariage. Il l’entraîne à Bayreuth dès 1896, et l’agrège à son « atelier » où les plus grands musiciens de l’époque, de Debussy à d’Indy,

Proust et Wagner, par Jean-Yves Tadié

Publié le - 15h15Hôtel Bedford

Il s’agira de montrer la place occupée par Wagner dans la vie de Proust, comment il a connu son œuvre et ce qu’il en a dit, puis de relever des traits proustiens chez Wagner et des traits wagnériens chez Proust.

La musique de Richard Wagner au cinéma, par Jean-François Pioud

Publié le - 15h15Hôtel Bedford

L’histoire qu’entretiennent Richard Wagner et le cinéma est à la source de quelques inspirations et controverses artistiques. Nombreux sont les cinéastes qui ont « glorifié » la musique de Richard Wagner (mais non sans ambiguïté aussi) comme un paradigme

Saint-Saëns et Wagner : géopolitique et esthétique, par Jacques Bonnaure

Publié le - 15h15Hôtel Bedford

L’amour-haine de Saint-Saëns pour Wagner paraît s’expliquer d’abord par des conditions politiques liées aux tensions franco-allemandes de la période 1870-1914, mais recouper aussi deux esthétiques différentes et deux conceptions de l’évolution musicale et, plus généralement,

Wagner à Vienne, par Christian Merlin

Publié le - 20h00Hôtel Bedford

En 1860, après 77 répétitions, l’opéra de Vienne jette l’éponge et renonce à créer Tristan et Isolde. C’est Munich qui aura cet honneur. Une blessure qui connaîtra bien des réparations, jusqu’à l’enregistrement à Vienne, un siècle plus tard, du premier Ring en studio et en stéréo. Pourtant, les rapports entre

Le leitmotiv : de la naissance au développement dans la tétralogie, par Cyril Plante

Publié le - 20h00Hôtel Bedford

Wagner a créé, avec l’usage du leitmotiv dans la tétralogie, un véritable système. La recherche contemporaine a découvert que le leitmotiv est composé d’une unité musicale minimale, à la fois formelle et expressive, le codon. De la combinaison des différents codons dérive la forme et l’expression du leitmotiv. L’examen