Bayreuth, juillet 1976… Le « Ring du centenaire, Boulez-Chéreau », le monde wagnérien découvre, dans le rôle de Siegmund, un jeune et talentueux ténor au physique de playboy, Peter Hofmann. Un grand artiste est né, c’est le début de la gloire ! Trente-quatre ans plus tard,
Archives des conférences
Wagner à la Belle Époque : le regard de Willy, par Marie-Bernadette Fantin-Epstein
Parsifal, le théâtre et le sacré, par Jean-François Candoni
Bayreuth, scène d’un drame en trois actes, par Marc Dumont
Pour les wagnériens, tout part de là. D’où vient ce lieu rêvé de l’art total, son théâtre, mais aussi, au cœur de la ville, Wahnfried, la villa des chimères ? Pourquoi ce lieu est-il devenu un des centres mondiaux de la musique ? Comment est-il né, de quels projets, de quels désirs ? Au départ, ce rêve wagnérien n’était
Colette à Wagneropolis, par Cécile Leblanc
Assemblée générale ordinaire
Hommage musical à Christa Ludwig.
Proust et Wagner, par Jean-Yves Tadié
La musique de Richard Wagner au cinéma, par Jean-François Pioud
Saint-Saëns et Wagner : géopolitique et esthétique, par Jacques Bonnaure
Wagner à Vienne, par Christian Merlin
En 1860, après 77 répétitions, l’opéra de Vienne jette l’éponge et renonce à créer Tristan et Isolde. C’est Munich qui aura cet honneur. Une blessure qui connaîtra bien des réparations, jusqu’à l’enregistrement à Vienne, un siècle plus tard, du premier Ring en studio et en stéréo. Pourtant, les rapports entre