Strauss interprète de Wagner, par Jean-Jacques Velly

Publié le - 20h00Hôtel Bedford

« Converti » à la musique wagnérienne dès 1885, Richard Strauss s’est imposé, par la suite, comme l’un des principaux représentants du courant de la « musique de l’avenir ». Devenu chef d’orchestre, cette influence très forte l’a poussé à diriger fréquemment les ouvrages de

Les grandes voix wagnériennes, par Clym et Christian Ducor

Publié le - 20h00Hôtel Bedford

Selon notre habitude, nous clôturons la saison de conférences par une écoute d’interprétations wagnériennes, au fil des plus grands interprètes, que nos amis sauront rappeler à nos oreilles.

Berlioz et Wagner : berlioziens et wagnériens, par Christophe Dilys

Publié le - 20h00Hôtel Bedford

Depuis les années 90, la musicologie se tourne vers une approche plus systématisée et structurelle de l’étude sociologique des conditions de composition des compositeurs. L’approche herméneutique recoupe toutes les données socio-historiques connues sur les compositeurs,

La postérité de Lohengrin, par Timothée Picard

Publié le - 15h15Hôtel Bedford

Quintessence du merveilleux romantique empreint de religiosité, ou parabole pessimiste pour modernité désenchantée ? Fable politique sur la grandeur et les dangers du héros charismatique, ou portrait de l’artiste romantique en incompris cherchant à concilier le réel et l’idéal ? Lohengrin

Liszt, Wagner et leur « lumière surnaturelle », par Nicolas Dufetel

Publié le - 15h15Hôtel Bedford

En composant Das Wunder (Le miracle) de son oratorio Christus, Liszt voulait trouver une « lumière surnaturelle » pour représenter la paix installée par Jésus après le déferlement de la tempête qui le menaçait, lui et ses disciples, dans la barque (Matthieu 8, 23-27). D’autres œuvres témoignent de cette

La défense d’aimer (Das Liebesverbot) et les opéras de jeunesse de Wagner, par Damien Colas

Publié le - 15h15Hôtel Bedford

Pourquoi s’intéresser aux œuvres de jeunesse de Wagner ? À l’occasion de la récente production de La défense d’aimer, à l’Opéra national du Rhin, cette ancienne question resurgit, ainsi que celles qui l’entourent : les raisons de l’exclusion des œuvres de jeunesse du canon wagnérien, leur place